Bonsoir

J'aime ce blog pour les infos inédites qu'il nous propose chaque jour.

Oubliez les belliqueux et rassurez-vous Franck il y a aussi moi qui apprécie votre travail

et qui ne joue pas les profs autoritaires.

FB 

• • cinefilnog94

    Mardi 12 Septembre 2017 à 19:33

    Bonsoir Franck ,

    Je vous soutiens à 100 % pour tous ces tableaux que vous publiez grace aux chiffres du CNC que vous donne Fabrice .

    Comme vous l'avez précisé dans un commentaire précédent , des films comme Le docteur Jivago ou Zorba le grec n'ont jamais eu un nombre de salles aussi élevé que les films avec Louis de Funès ou Jean Paul Belmondo , ce qui ne les a pas empêché de faire leur succès sur de nombreuses semaines .

    Nous le verrons dans quelques semaines , lorsque vous aborderez l'année 1969 avec le film Z de Costa Gavras qui a fait une très longue carrière parisienne dans un nombre de salles très restreint .

    Bonne continuation pour les tableaux des semaines à venir !

    Michel

     

     

     

     

     

Et bien, heureusement que l'on se doit d'être mesuré 

Je vous parle d"a bout de souffle" et vous me parlez de "Docteur Jivago". Mais Jivago n'est pas comparable. Il est signé du prestigieux David Lean, qui sortait de deux des plus gros succès de l'histoire du cinéma, aussi bien critique que public. C'était une super-production américaine, épique et spectaculaire, avec de la romance produit par le studio le plus connu au monde. Le seul point commun entre les deux, c'est leur BO qui ont marqué les esprits. Heureusement que le film à fait plus d'entrées que le film de Leone. Tout le monde s'attendait à ce que ce soit un méga carton, et la MGM en premier. 

Si je compare "A bout de souffle" à "Pour une pognée de dollars", c'est justement que personne ne les attendait. Plus le fait que c'était des petits budgets, sans stars, sans réalisateurs connus, et qui ont marqué le cinéma de leur empreinte. Cela n'a rien à voir avec une quelconque question de goût, mais il suffit de lire les magazines de l'époque. ces deux films ne sont pas passé inaperçus du tout.